Début de soirée [Meena]

Alors finalement, allait elle le repouser ou non? C'était la grande question du moment qui trouva bien vite une réponse. Puisqu'en premier lieu elle ne refusa pas le baiser, loin de la, et qu'en plus elle lui demandait d'avantage. La convaincre? Mais avec plaisir voyons! Passant ses bras autour de sa taille pour la rapprocher de lui d'avantage si c'était encore possible, il répondit avec hardeur au baiser que lui donnait Meena. C'est que finalement, si la jeune femme y mettait du sien comme elle le faisait, les choses seront bien simples. Bon, et voilà, il semblerait bien que le dénouement de la soirée soit on ne peut plus évident. Dorénavant, Kurtis ne pensait plus au petit ami de la demoiselle. Il n'en n'avait que faire pour être franc. Il n'en saura rien, ce n'était pas lui qui lui dira quoi que ce soit. Et s'il l'apprenait, et voulait ensuite venir pour lui casser la figure, il saura l'accueillir. Ce ne sera pas le premier, ni le dernier. Non s'il devait y penser ce serait uniquement pour se dire que leur relation ne tenait à rien. Mais que sur ce détail la, Kurtis s'en fichait pas mal. C'est lui qui avait Meena entre ses bras, c'est lui qui l'embrassait avec passion, c'est lui qui perdait ses doigts entre ses cheveux. Point à la ligne. Et il n'allait pas s'en plaindre non plus. Il s'était vaguement demandé si un jour ils allaient passer au dela de la ligne d'amitié. Voilà qui était fait. Au bout d'un moment, il mit fin au baiser, puis toujours près d'elle, dans ses bras lui demanda, entre deux baisers :

Tu ne voudrais pas aller au chaud?

C'est bien cool de se rouler des patins dans le froid comme ça, mais bon, ça allait un moment non? Oh en tout bien tout honneur bien sûr. Même si dans un grand coin de sa tête il pensait à plus, c'était à la base surtout pour se réchauffer. L'alcool c'est cool ça réchauffe un moment, mais pas éternellement. Rien ne vallait un bon chauffage. Ou un bon bain. Oui la bouteille à coté, vous l'aurez deviné maintenant que vous connaissez mieux le personnage.

J'habite pas très loin.

Soit quelques rues plus loin au sud de Central Park à environ 15 minutes de marche ou 10 s'ils vont vite. Au Platinium, 247 west 46th street, maginfique bijou de l'architecture, au m² indescement énorme et au loyer proportionellement cher. Quoique maintenant l'appartement lui appartenait, mais bon, il en avait claqué du fric la dedans. Alors autant que ça serve et si ça pouvait éviter qu'ils ne continuent à s'embrasser dans le froid des plus total pourquoi pas.

Encore une bonne chose elle ne refusa pas d'aller se mettre au chaud. Voilà en tout cas une soirée qui plus elle avançait, plus se révélait être intéressante! Et même durant le trajet pour aller jusque chez lui, la voix de Meena trahissait une certaine excitation, ce que Kurtis ne manqua pas de relever. Oh oui cette soirée était plus intéressante que prévue! Quand il pensait que d'autres passaient leur soirée à se gaver de petits fours en discutant avec des personnes qu'ils ne pouvaient pas voir en peinture! Ils ne savaient vraiment pas profiter de la vie ces gens la. Woops! Tellement perdu dans ses pensées qu'il faillit presque rater son immeuble! Et Meena était bien partie pour s'il ne l'avait pas retenue. Ils rentraient?

Bien sûr sauf si tu veux rester dehors.

Ce qu'elle ne voulait pas, pas vrai? En tout cas la réaction de Meena était assez intéressante juste en voyant l'immeuble dans lequel il vivait. Et encore ce n'était que l'entrée. Ça l'avait toujours bien amusé de voir la réaction de certaines personnes à la vue de son appartement. Non pas qu'il aimait en mettre plein la vue aux gens, après tout c'était lui d'abord qui y vivait dans cet appartement démesurément grand pour une seule personne. Mais ça se comprends que comparé aux autres appartements de la capitale celui ci devait valoir le détour, comme les autres de la résidence d'ailleurs. Oh sérieux elle était... chaude maintenant?

Vraiment? Dire que je ne t'ai presque pas touchée.

Dit-il non sans amusement. Fichtre il n'avait pas l'habitude de sortir avec des femmes de 20 ans, elles étaient toutes comme ça? Chaudes comme la braise? Ou bien est ce seulement le fait de n'avoir rien fait depuis qu'ils se connaissait qui était à l'origine de tout ça? Ou l'alcool? Non, pas ça.

Enfin je suis content de voir que l'immobilier est une source d'aphrodisiaque pour toi.

Il disait ça en riant légèrement. Enfin il s'en foutait si ça lui plaisait ou non, même si c'est toujours plus agréable un environnement comme cela non? Il l'emmena prendre l'ascenseur, se doutant fort qu'elle n'avat pas envie de gravir trente cinq étages à pied. A l'intérieur, non il ne lui sauta pas dessus, un peu de retenue quand même. Non à la place, il en profita juste pour se pencher vers elle et lui glisser quelques baisers dans le cou. Hum, elle sentait fort bon... Le parfum d'une femme, lorsqu'il est choisi justement, il est bon pour faire tourner la tête. Après avoir emprunté l'ascenseur, les jeunes gens arrivèrent devant la porte d'entrée de son appartement. Une porte en bois massif, dans un couloir des plus modernes. Ils ne croisèrent aucun voisins en chemin, tant mieux. Puis Kurtis ayant ouvert la porte à coté de laquelle la sonnette indiquait Jericho, il laissa entrer Meena puis lui également avant de refermer derrière eux.

Je t'en prie, fais comme chez toi.

Qu'elle regarde l'entrée, le salon, ou ce qu'elle veut, en attendant il allumait quelques lumières tout en posant sa bouteille sur le comptoir. Kurtis retira sa veste qu'il laissa tomber sur un fauteuil, et se rapprocha de Meena pour en faire de même, soit l'aider à retirer sa veste. Une fois enlevée, il l'envoya rejoindre son manteau, tandis qu'il glissait de nouveau une main dans la nuque de la jeune femme, et l'autre autour de sa taille fine pour la rapprocher de lui afin de l'embrasser de nouveau.

C'est juste, Kurtis n'avait rien tenté avec elle jusqu'à aujourd'hui. Mais bon, il y avait cette fois ci un peu réfléchi à l'avance. Le fait est que Meena n'avait que 20 ans. Lui allait sur ses 35. Sympa la différence d'âge, un peu plus et il aurait eu l'âge d'être son père. C'est qu'il évitait fortement de se taper des jeunettes. Ça ne le fait pas trop. Être catalogué comme le vieux pourri qui se paye des toutes jeunes, non merci. En fait ils avaient bien dit qu'ils oubliaient leur âge pour la soirée non? Alors voilà, un soucis de moins. Puis bon, peut importe qu'elle ait 20 ou 30 ans, le fait est qu'à chacun des gestes de la jeune femme, plus érotique les uns que les autres il sentait son désir monter peu à peu. Egalement lorsqu'il la vit se retourner pour couper l'eau. Oui bien sûr qu'elle savait ce qu'elle faisait. Une fois cela, il la vit se rapprocher de lui pour lui retirer ses vêtements. Il se laissa faire bien volontiers. Il regarda voler son veston, bientôt suivit de sa chemise sur le carrelage de la salle de bains.

Les choses sont en effet plus équitables. Pour l'instant.

En disant cela, Kurtis fit le tour de Meena afin de se placer derrière elle. D'une main, il dégagea ses cheveux de son épaule gauche, afin de pouvoir y déposer plus facilement quelques baisers. Ses mains ne restèrent non pas sans bouger, se contentant d'occtroyer des caresses à ses épaules, ses bras, puis elles remontèrent à ses épaules pour passer dans son dos, à descendre lentement, toujours du bout des doigts, prenant tout son temps pour parcourir chaque recoin qu'il s'autorisait à découvrir. Puis elles remontèrent au niveau de son soutient gorge. Un casse tête pour un homme lorsqu'on doit en défaire un pour la première fois. Hors ce n'était certainement pas le cas pour Kurtis ce soir la. Certainement aussi facilement que Meena le faisait pour le fermer, il l'avait ouvert. Ses mains remontèrent ainsi à ses épaules, faisant glisser les bretelles le long de ses bras pour finalement le lui retirer et l'envoyer rejoindre le reste des vêtements. Tandis que ses mains redescendirent le long de son dos, pour finalement aller sur son ventre, l'enlaçant de cette manière, il releva les yeux devant lui ou il pu voir leur reflet dans le miroir. Enfin le sien il s'en foutait il le connaissait pour le traîner depuis tout ce temps. Il n'y avait que Meena qui avait une rélle importance dans ce reflet. Et ce qu'il vit lui insuffla une nouvelle bouffée de chaleur :

Tout à fait délicieux....

Murmura t-il. De voir la jeune femme les cheveux lâchés, sans son soutient gorge, un reflet qui laissait peu de place à l'imagination.... Rappelez lui juste pourquoi il n'avait jamais rien tenté?

Peut être que Kurtis n'était pas obsédé comme certains par le temps qui passe, il l'acceptait très bien même, mais de savoir qu'on plait, ça fait du bien. Même s'il n'avait pas attendu ce soir pour ça. Il répondit par la suite à son baiser avec entrain, laissant ses mains parcourir la courbe de ses reins avec plaisir. Puis, elle se sépara de lui pour se déshabiller d'une manière ont ne peut plus provocante. Un sourire étira ses lèvres alors :

Avoue tu le fais exprès.

Dit-il en la voyant peu à peu.... se déshabiller. D'une manière très sensuelle. Non comme quoi il n'y a pas que dans les films que c'est ainsi! Il se contenta de la regarder, un sourire en coin, la dévorant du regard, ses yeux apprenant ses courbes, ses formes. Appétisant tout ça non? La rejoindre? Oh mais si il allait dans cette baignoire également la de suite, ce ne sera pas pour faire un concours d'apnée croyez le!

Mais avec plaisir ma chère...

Dit-il en souriant. Malgré ça il ne pu que trouver l'attitude de Meena avec la mousse amusante. On aurait limite dit une enfant s'amusant avec un rien. Mais ça n'entâchait en rien du tout son désir, loin de la. Nous disions donc? Ah oui la rejoindre. Pas de soucis! Pour ce, Kurtis se débarassa des derniers vêtements. Se montrer nu face à elle? Oui et ou est le soucis? Oh sans vouloir se jeter des fleurs, il pouvait encore être fier de son corps. Hé il n'était pas un vieux croûton non plus! Non mais. Une fois ça de fait il se glissa à son tour dans l'eau chaude, entre la mousse la prenant dans ses bras. Fichtre un bain moussant!

Bon sang j'ai l'impression que ça fait une éternité que je n'ai plus pris de bain moussant.

La dernière fois c'était quand? Réfléchissons si son cerveau le lui permettait. Voyons, ça devait faire trois ans environ. La dernière fois, c'était... avec une femme bravo, mais avec celle avec laquelle il était resté le plus longtemps. Six mois. Et oui un pur exploit! Alors pourquoi ça avait eu une fin? Et bien par ce qu'elle n'a pas supporté sa notoriété. Et elle lui avait présenté un ultimatum. Ou elle ou le boulot. Et désolé pour elle, mais Kurtis choisis le boulot sans hésiter. Pas pour le fric, la gloire et tout. Non par ce qu'il vivait pour. Alors si elle ne pouvait pas comprendre... Enfin, passons, pour le moment il était avec Meena, ses mains ne cessaient de monter et remonter le long de ses bras, son cou, avant qu'il n'aille déposer des baisers sur ses épaules...

J'avais oublié à quel point c'était agréable.

En profiter. La, qu'elle se rassure c'est ce que Kurtis faisait de mieux dans la vie. Profiter de tout. De ses facilités dans la vie, il avait de l'argent alors il en profitait. Il avait un certain charme alors il en profitait. Il avait des amis sur lesquels compter, alors il profitait de cette amitié solide, il avait un appartement trop grand pour lui, il en profitait... Il profitait de la vie quoi. Tout ce qu'il avait la, il ne l'emportera pas au paradis s'il y en a un. On n'a qu'une vie donc autant la vivre à fond. Même lorsqu'il s'agissait de reluquer une jeune femme. D'a peine vingt ans bon sang. Mais ils s'étaient dit qu'ils n'allaient pas faire tout un plat quand à leur âge. Alors, silence. Donc oui c'était plutôt agréable que de prendre un bain en charmante compagnie. Il y avait quelque chose de terriblement sensuel la dedans, un couple à prendre un bain moussant, le champagne non loin... Hé ça ferait une bonne pub non? Pour quoi aucune idée, mais y'avait de l'idée. Il laissa Meena se mouvoir à son aise, pour se retourner sur le ventre, laissant ses doigts aller la ou bon leur semblait, faisant grimper son envie d'elle d'avantage si possible, l'embrasser follement.... Enfin calmons nous. Pour le moment il ne fera rien pour la simple raison qu'il n'avait rien la, sous la main pour se protéger. Hé soyons sérieux voulez vous? Par ce qu'avec toutes les femmes qu'il avait connu il y en avait eu forcément une qui avait une quelconque maladie. Et puis, par ce qu'on est jamais trop prudent, même si elles disaient prendre la pillule, il n'allait pas se laisser berner. Non mais le coup du je te fais un enfant dans le dos pour ensuite te réclamer des pensions alimentaires énormes, merci mais on ne la lui faisait pas. Y'avait pas marqué couillon sur son front qu'il sache. Alors lorsque Meena parla du champagne, il esquissa un sourire :

Mais tout de suite princesse.

Reculant comme il put, pivotant légèrement le buste il réussi à attraper la bouteille qu'il avait posé près de la baignoire avant, pour l'ouvrir doucement, histoire de ne pas en gaspiller. Une fois celle ci ouverte dans un «plop» il attrapa les deux flutes pour les servir. Quelle technique tout de même. Comme quoi ça sers d'avoir des bouteilles à disposition. Elle devait bien se douter qu'il allait en servir souvent lorsqu'il avait des invités, des contrats de signés, des choses à fêter, une soirée à tuer en solitaire pour se réveiller le lendemain couché sur le sol … Bref!

Et voilà pour toi.

Lui dit-il en lui donnant sa flute tandis qu'il gardait la sienne en main.

Il est inutile je crois de trinquer à cette soirée une nouvelle fois non?

Vu qu'ils l'avaient déjà fait. A quoi alors? Aux bulles de mousse qui allaient mourir lentement à petit feu?

Meena devait avoir compris qu'il n'y aurait rien dans l'eau de très folichon pour sortir de cette manière. Ah la classe...

Comment vous faites ça, vous les femmes, pour être toujours si sensuelles?

Secret de fabrique ou un truc dans le genre non? Pas qu'il voulait être sensuel lui aussi tout le temps, mais ça l'intriguait, voilà tout. A son tour, Kurtis sortit de la baignoire pour se sécher, attrapant une serviette, étant donné que la miss avait jugé bon de prendre son peignoire. Qu'importe. Une fois à peu près sec, il avait entouré sa serviette autour de ses hanches. Oh non il n'avait aucun soucis avec la pudeur ou autre chose, à ce stade il serait ridicule d'ailleurs, mais, un peu de tenue non? Il n'avait pas non plus bu au point de redevenir un animal. Ce serait bien honteux. Ceci dit, il se laissa le loisir d'observer Meena à sa guise. Le peignoire attaché lâchement autour d'elle, dévoilant son corps par endroits d'une manière des plus sexy.... Appétissant tout ça non? Semblerait il qu'il soit temps de passer aux choses sérieuses, ce qui n'était pas pour lui déplaire, au contraire. Il s'approcha alors de la jeune femme, sans la lâcher du regard, et une fois arrivé à sa hauteur, posa ses lèvres sur les siennes tandis que sa main glissait derrière ses épaules. Rompant le baiser, il se pencha légèrement pour passer sa main derrière les genoux de la demoiselle, afin de la soulever.

Si vous permettez, Madame.

Mais oui elle permettait hein? Madame, oui elle n'était pas mariée, mais n'avait il pas dit qu'il allait oublier son âge pour un temps? Comme quoi ça sers sérieusement à quelque chose de passer à la salle de sport de temps en temps. Et vu qu'elle était loin d'être lourde, ça allait. La chambre n'étant pas à trois kilomètres non plus, c'est sans soucis qu'il l'y mena, ouvrant la porte d'un coup d'épaule. Sa chambre? Décorée dans les tons blancs, elle offrait une très belle vue sur la Big Apple de part ses baies vitrées. De nuit le spectacle était encore plus grandiose. Mais, ayant déjà pu observer cette vue maintes fois, il s'en fichait un peu. Beaucoup même. C'était la jeune femme dans ses bras qu'il déposait sur le lit doucement maintenant qui attirait toute son attention tel un aimant. C'est normal ne vous en faites pas. Logique même. Si ce n'était pas le cas il y aurait de quoi s'inquiéter par contre vous ne trouvez pas? Cependant, il eu un très bref instant de lucidité. Ils étaient, amis on peut le dire, avant cette soirée non? Et demain, que seront ils? Pourront ils de nouveau se voir comme des amis uniquement ou bien il y aurait autre chose? Ou rien du tout. Dans le sens ou coucher ensemble était la meilleure manière de foutre en l'air tout ce qu'il y avait entre eux jusque la. C'était tout lui. A chaque fois qu'il semblait avoir une relation normale avec une femme, ça devait déraper, tôt ou tard.

Mais l'instant de lucidité passé, il adressa un sourire à Meena, glissant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille. On pourrait dire que c'était l'alcool qui l'incitait à aller plus loin avec elle mais non. Pas du tout. Il en avait envie, il avait toujours eu envie d'elle pour être franc. Mais, il s'était dit qu'il pouvait bien pour une fois se retenir et réfréner ses pulsions! Tu parles! En plus la demoiselle était censée être en couple ou un truc dans le genre non? Kurtis eu une pensée amusée pour ce mec. Quel couple solide pour que Meena aille se jeter dans ses bras sans aucune honte! Ou peut être pour elle, était ce l'alcool qui se mettait en marche? Comme pour couper court à ses pensées, assez brouillées, il se pencha vers elle pour l'embrasser, oubliant ce à quoi il pensait ou pouvait encore penser.

Au moins, d'avoir réussi à la soulever l'avait bien fait rire. Femme qui rit …. Ah oui, de sentir ses muscles était excitant? Comme quoi mes amis, on en apprends chaque jours. Bien qu'il avait eu droit de remarquer à quelques reprises – plusieurs – que certaines femmes raffolaient du fait de se sentir en sécurité dans les bras musclés d'un homme fort, courageux et chevalresque. Bien qu'il n'était pas prêt de gagner un concours de cultirisme, qu'il n'était pas un preux chevalier, c'était plutôt rassurant de savoir que l'on pouvait prodiguer de telles sensations.
Lorsque la jeune femme le fit rouler sur le dos, il ne pu s'empêcher de sourire. Il avait toujours adoré lorsque sa partenaire y mettait du sien. Pas au point que ça en devienne une lutte pour savoir qui dominerait l'autre. Mais lorsqu'elle prends des initiatives, le force en quelque sorte à s'allonger, il avait toujours aimé ça. Au moins il était sûr de ne pas s'ennuyer. Non par ce que la vierge éffarouchée qui n'ose rien faire, ni ouvrir les yeux, ni le toucher, merci mais non merci en fait. Il laissa ensuite ses yeux couler le long du corps dénudé de Meena lorsqu'elle retira son peignoir, dévoilant ses courbes une nouvelle fois.

Rappelle moi juste pourquoi on n'a jamais rien fait jusqu'ici …

Par ce qu'elle était trop jeune? Par ce qu'il voulait se prouver à lui même qu'il pouvait se retenir? Pour la deuxième explication, il savait au moins que c'était pas demain la veille qu'il allait y arriver. Et les femmes au travail ne comptaient pas, ça ne lui viendrait jamais à l'esprit de les draguer. Celles qu'il rencontrait en dehors du travail en revanche, c'était plus fort que lui, il venait à les draguer un moment ou un autre. Ne croyez pas qu'il ne s'est jamais prit de râteau pour autant. Il a eu droit à sa dose, surtout plus jeune. Avec le temps on apprends. Il devrait également apprendre à maîtriser ses pulsions. Sauf dans ces conditions la. Lorsqu'une jeune femme plus qu'appétissante se tient à califourchon sur soi, totalement nue, vous embrasse, on ne réfléchit pas. Puis il profita pleinement du baiser, tandis que ses mains allèrent redessiner les formes de la jeune femme, glissant d'abord sur ses jambes interminables, puis à remonter lentement le long de ses hanches, glisser dans son dos, remonterà ses épaules et redescendre sur ses bras, à remonter de nouveau pour redescendre à sa voluptueuse poitrine, à revenir ensuite à sa nuque pour approfondir le baiser, son autre main continuant d'explorer son corps, lentement, doucement.