Pour l'honneur (Alex & Castiel)

Caro était partit, je venais de ranger le sac de petits pois surgelé. En me regardant dans le miroir de la salle de bains, il était claire que mon œil ne passerait pas inaperçu. Ma lèvre avait dégonflait et ne me faisait plus mal du tout. Mon œil droit était un peu rouge entourée d’une teinte bleu violet. Un jolie cocard ou œil au beurre noir comme on dit. Je n’avais pas fier allure, mais cette idiot de Dylan se souviendrait de moi et de mais poings longtemps encore.

Castiel et Roy n’allait pas tarder à rentrer, il fallait que je camoufle cet œil, avec un peu de chance, l’école n’as pas prévenu mon père de mon exclusion temporaire d’une semaine pour bagarre, il n’aurait le message que plus tard dans la semaine et ne trouverait mon T-shirt tachait dans les même eaux. Je ressentais une douleur sur le côté droit de mon torse et dans mon dos, je soulevais ma chemise et un bleu partant du côté pou se terminer au centre du dos d’une couleur rouge striée de bleu était visible, l’autre ne m’avait pas ratait.

J’entendis la porte s’ouvrir, je fonçais dans ma chambre et trouvait dans le tiroir de a table de nuit, ce qu’il me fallait une paire de lunette de soleil, Roy crie à tu tête :

Grave ? Pour qui ? ET comment. Était-il déjà au courant ? Impossible, pas si vite, le lycée n’est pas aussi rapide que ça e, règle générale. Si c’est le cas je joue vraiment de mal chance. Je sortis de mon repaire et me rendis à la cuisine ou mon père rangeais les courses sous le regard avisait de mon frère :

Mon père ne me répondit pas, mauvais signe, très mauvais. Il finit de ranger les courses, puis se retournât ver moi, je compris de suite à son air, il était au courant de mon exclusion et pourquoi je l’étais, je sentis directe que j’allais passer une mauvaise soirée et une semaine horrible.

Il y a des jours comme ça ou, quand on croit qu'on est en train de passer une bonne journée, il y a autre chose qui arrive. Alors qu'il était occupé avec de la paperasse à la galerie, il se disait justement que la journée fut calme. Il ne lui restait pas longtemps avant de partir pour chercher Roy à la sortie de la primaire et aller faire deux trois courses. Une journée en somme toute très sympathique. C'était sans compter sur Alex …

Castiel eu alors le plaisir d'entendre son téléphone sonner, celui de son bureau. Une fois qu'il eu décroché, sa bonne humeur s'envola aussitôt ! C'était le directeur du lycée d'Alexander. Dès qu'il eu reconnu sa voix pour lui avoir parlé quelques fois, il su que c'était mauvais. Effectivement, il eu la joie d'apprendre que son fils s'était battu et qu'il avait écopé d'une semaine d'exclusion. Mais c'était quoi ces histoires sérieux ? Oh bon sang, il y en avait un qui allait passer une très sale soirée ! Du coup, c'était énervé et de mauvaise humeur qu'il quitta la galerie pour aller récupérer Roy. Pendant qu'ils faisaient quelques courses, Roy avait remarqué que son père n'était pas de bon poil. Il lui expliqua juste :

Ton grand frère a fait une grosse bêtise, j'aurais à lui parler une fois à la maison.

Forcément il tenta de savoir ce qu'il avait fait, mais il n'obtint pas de réponse. Une fois les courses terminées, père et fils rentrèrent à la maison. D'ailleurs à peine arrivé, Roy cru bon de prévenir Alex qu'une discussion s'imposait. Celui ci finit par pointer le bout de son nez alors que Castiel rangeait les courses. Pour le moment, il ne dit rien. Castiel regarda Alex du coin de l'oeil. Il vit qu'il était plutôt mal en point. Enfin c'était pas un bleu à l'oeil qui allait le tuer non plus. Enfin, il termina de ranger ses courses, calmement. Puis, il se tourna vers lui, et lui demanda d'un ton parfaitement calme :

Rien à me raconter jeune homme ?

Laissons-le raconter son histoire avant que ça ne chauffe pour son matricule.

Vu sa remarque, il était au courant. Le lycée n’a pas traînait, ils l’ont vite appelait pour le lui dire. Rien ne sert à ce que je garde les lunettes de soleil sur le nez. En enlevant mes lunettes, mon œil, mon cocard se vit de [url=#]suite[/url], au vu de la réaction de Roy qui bloquait dessus, il devait être plus impressionnant que ce que je pensais. Il voulait que je lui dise ce qui se passe :

Un bref résumé qui raconte tout. Pour essayer d’échapper à une sanction trop dure, je soulevais mon T-shirt découvrant ainsi, mon énorme bleu, partait de mon côté droit pour finir pratiquement de l’autre côté en passant par le dos :

Roy venait de s’exprimait, pour une fois que ces paroles me servent, je ne dit rien. Une fois mon       T-shirt rabaissait, je fixais mon père le balle était dans on camp, à lu de voir ce qu’il [url=#]compte[/url] dire ou faire maintenant.

A la phrase l'honneur de la famille Wilde est sauf, Castiel eu une moue qui disait : ouais si tu le dis. Il ne savait même pas qu'il y avait un quelconque honneur dans leur famille, mais s'il le disait. Le fait qu'il y ait une fille dans la vie d'Alex était une bonne nouvelle, et le jeunot devait le savoir qu'il ne s'apprêtait pas à l'engueuler pour ça. C'était le pourquoi du comment Alex s'était retrouvé mêlé à une bagarre qu'il aimerait bien savoir ! Et puis, une semaine d'exclusion, il avait tué le mec ou quelque chose dans le genre ? Bref, Castiel ne dit rien, laissant son fils s'expliquer en premier. Et il se nota dans sa tête qu'il allait devoir apprendre à Roy qu'il n'aimait pas les cafteurs. Lorsque Alex releva son haut pour dévoiler sa blessure, le sang de Cas ne fit qu'un tour ! Franchement, il ne savait pas comment, mais il garda son calme. C'est d'une voix posée, mais très sérieuse qu'il dit aussitôt :

Alex, met tes chaussures et ton manteau. Roy pas la peine d'enlever les tiennes tu va chez la voisine.

Voisine qui l'avait déjà dépanné quelques fois. Et que Castiel avait aussi dépanné à son tour. Ils avaient tous les deux un garçon du même âge, 6 ans, alors c'était pratique dans ce cas de figure. Dès qu'Alex avait enfilé ses chaussures et mit son manteau, c'est pas limite si Castiel avait empoigné Roy sous le bras et l'aurait balancé chez la voisine ! ( En fait il avait sonné et demandé poliment hein!) Il avait ensuite traîné Alex jusqu'à la voiture, limite le poussant à l'intérieur. Une fois les deux bruns dedans, Castiel démarra et sortit du garage. C'est seulement la qu'il se permit d'exploser, une fois les oreilles chastes de Roy éloignées.

Mais t'es complètement con ou t'as juste une case en moins ?

Castiel était plus que furax. Contre son fils et sa bêtise, contre le type qui l'avait amoché et aussi à ce directeur qui punissait injustement !

T'es peut être en train de nous faire une hémorragie interne, mais sinon tout va bien, l'honneur est sauf ! Ces conneries qu'on peut pas entendre j'te jure....

Castiel soupira, excedé. Forcément il avait peur que son fils n'aie quelque chose de sérieux ! Peut être n'en n'était il rien, mais c'était assez conséquent pour lui faire peur ! Et pourtant, c'est pas lui qui allait s'apitoyer sur les petits bobos des gens. A la limite le cocard qu'il avait à l'oeil était certes impressionnant, mais ce qu'il avait au torse ... Ah, oui aussi petite précision :

Je t'emmène aux urgences au cas ou tu n'aurais pas compris. Il est hors de question de te laisser te promener sans qu'un médecin t'ai vu. On parlera de cette histoire de bagarre plus tard, en attendant, il y a plus important.

C'est pour ça qu'il avait laissé Roy chez la voisine. Traîner un môme de six ans c'était juste trop pénible pour tout le monde. Deja le fait d'y aller, c'était chiant à la base, alors pour un petit …

Bah ça, Castiel se doutait qu'il était pas en train de crever. Il n'était pas médecin, mais il savait qu'en cas de réelle hémorragie interne, Alex ne tiendrait plus debout. Mais il préférait aller directement voir un médecin pour éviter qu'il y ait une quelconque complication aussi. Oh eh, c'était son père ou quoi ?

Je ne veux rien savoir. En attendant tu va voir un médecin, qu'il nous dise ce que tu as, comme ça demain je passe voir ce directeur de mes deux.

Fin de l'histoire. Et puis de tout de façon, ce n'était pas à Alex de décider de cela. Castiel lança un regard noir à Alex à sa dernière phrase. Il l'aimait un peu quand ça l'arrangeait le guedin !

Si tu crois m'avoir avec les sentiments, tu te trompes lourdement mon cher. Parce que même si selon moi, à moins que tu n'ai crevé l'oeil de ce type, ton exclusion est une punition bien trop lourde, ne comptes pas sur moi pour être sympa.

Fallait pas pousser non plus ! A force il le connaissait un peu il se doutait qu'il n'était pas tout blanc dans cette histoire. Alors que Castiel empruntait le chemin de l'hôpital, il se dit qu'il avait le temps de mettre au moins au clair certaines choses avec le jeune homme.

Et c'est quoi cette histoire d'honneur au juste ? Si j'ai bien compris, t'as défendu juste une nana, rien de plus.... Faut vraiment que tu arrêtes de te faire des films et que tu redescende sur terre Alex. L'honneur, c'est un prétexte qu'on donnait aux types qu'on envoyait se faire charcuter à la guerre, rien de plus.

Oui bon après il y avait l'honneur des samouraï, mais très sincèrement, Castiel croyait qu'Alex était à des années lumières de ce mode de pensée ô combien respectable de ces loyaux serviteurs japonais. A tous les coups, il a voulu jouer aux grands pour impressionner une nana et fin de l'histoire. Décidément, il allait falloir lui apprendre l'art et la manière à ce môme.

Oui pour être furax, il est. Aussi loin que je me souvienne, je ne les jamais vu dans cet état de colère. Il veut que je vois un médecin okay, mais pour ce qui est du directeur hors de question, je ne veux pas être prit pour un de ces fils à papa. L’avoir avec les sentiments, je savais que cela ne mènerait à rien, mais c’était une boutade pour décontracté l’atmosphère, ben c’est encore raté. Il revint sur l’honneur et il ne semblait pas être du même avis que moi.
 
« Tu aurais voulut quoi, que je laisse ce type l’embêter. Je croyais que tu aurais était enfin fière de moi pour une chose. J’ai dû mal à te comprendre sérieux ? Tu n’es jamais content de moi, pas une fois tu m’as dit, c’est bien Alex ou je suis fière de toi… pff c’est bon laisse tomber, j’aurais dû le savoir, je t’interdis d’aller voir le directeur »

 
Oui je lui interdisais, si il allait le voir, il me mettrait la plus grosse honte de l’univers, il allait m’humilier en public. Il devait le savoir si comme il dit il tient un peu à moi. Je m’enfermais dans le silence, ne relevant pas ce qu’il disait ou pouvait bien faire. On fini  par arriver à l’hôpital, je m’assis sur une chaise, le temps qu’il aille parler aux infirmières et remplisse les papiers adéquat. Jamais à Londres je ne suis allé à l’hôpital pour une bagarre, d’ailleurs je ne me suis jamais bagarré la bas.
 
Je fus prie en charge par un jeune médecin, il me fit passer un tas d’examens et de radio. Puis il me dit d’attendre les résultats, je traversais la salle d’attente et allait m’assoir à l’opposée de Castiel. On attendit un bon moment puis le médecin réapparut, il m’appelait, je vis Castiel s’approchait de lui en même temps que moi :
 

« Monsieur Harper ou Wilde ? Vous êtes le père de ce jeune homme ? Parfait ! Pas la peine de vous inquiéter, certes c’est un superbe hématome qu’il à, mais ce dernier devrais se résorbé de lui-même. Sinon tout est okay, il en parfait santé, je vous souhaite une bonne soirée, je dois voir d’autre patients »
 
Je regardais le médecin s’éloignait. Je sentais que la soirée n’étais pas encore finie et qu’elle serait encore longue, décidant de briser le silence sans regardais mon père je dis :
 
Si tu va voir le directeur demain, je me casse de chez toi, une semaine d’exclusion ces pas la mort. Pour un fois fais ce que je te demande s’il te plait »
 
Puis sans un mot je sortis du bâtiment.
 

Bah oui, il allait lui dire quoi ? Bravo mon fils t'as juste la lèvre explosée, un œil au beurre noir et un méga hématome, mais sinon tout roule ? En plus c'est pas comme si la nana l'avait grandement remercié, mis à part s'être fait défiguré, Castiel ne voyait pas du tout l'intérêt d'une telle connerie. C'est pas comme si le type était en train de violer la fille en question. A la dernière phrase d'Alex, Castiel ne pu s'empêcher de pouffer de rire.

T'es sérieux bonhomme t'es en train de me donner un ordre ? Mais t'as vu Jésus ou quoi ?

N'inversons pas les rôles. Cas avait dit qu'il allait voir le directeur, il ira. Point à la ligne. Arrivés à l'hôpital, Alex passa quelques examens, afin de voir ce qu'il avait, si ce n'était pas trop grave. D'après le médecin qui vint les voir tout était en ordre. Plus impressionnant qu'autre chose ? Tant mieux alors, Castiel était rassuré. Puis, Alex prit la parole, revenant sur cette semaine d'exclusion. Il était au courant que si, c'était grave ? Que si un jour il souhaitait entrer dans une bonne université, ça allait lui porter préjudice? En même temps s'il s'était comporté comme un sale gosse, ça se comprenait. Castiel releva un sourcil à la phrase d'Alex.

D'abord tu devrais savoir jeune homme que je ne marche pas au chantage. Dis pas que c'en est pas, ça l'est. Ton foutu directeur, j'irais le voir.

Et puis c'est tout. Comme si c'était discutable !

Et si t'as envie de te casser, grand bien te fasse Alex !

Pour sûr, il ne le prenait pas une seule seconde au sérieux. Il releva les yeux au ciel, exaspéré. C'était quoi ces mômes ? Non mais genre quoi … Il a cru qu'il parlait à qui ? Son meilleur pote pour tenter de l'impressionner ? Non, le p'tit gars oubliait qu'il parlait à son père, et qu'il avait horreur des petits éffrontés comme ça.

Enfin en attendant, il fait froid, le seul fric que tu as sur toi c'est celui que je te donne chaque mois, et si tu penses que New York regorge de types prêts à te tendre la main, reviens dans le monde réel. Alors monte dans la voiture. Et ce n'est pas une question.

Naméo !