And happy new year [Terminé / Hot]

Petit hochement de tête pour dire que oui, comme ça, j’arrivais le plus simplement du monde à m’embrouiller face a mon p’tit dej. Ça l’étonnait vraiment ? Après cette soirée ? Après cette nuit ? Venant de moi ? Et oui moi aussi en général je ne me prenais pas la tête non plus. Mais la j’avais des circonstances aggravante voyez vous. Et... quoi ? Directement j’avais baissé mes yeux sur mon sweat. Mais il était très bien mon sweat Adidas. Gris et bleu. Sobre. Et puis propre surtout. Petit relevage de regard de fouine vers Dorian pour signifier mon mécontentement quand a sa remarque. Enfin, pas plus vexer que ça. Pas comme si c’était la première fois qu’il critiquait mes fringues. Tien ça aussi c’était un point plutôt chiant. Ne pas pouvoir m’habillé comme je l’entendais sans avoir une réflexion, un regard de travers ou un petit bruitage de bouche mais au combien explicite quant a ce qu’il voulait dire. Oh putain merde je recommençais ! Allé on mâche vigoureusement sa tartine et enchaine avec une gorgé de café. Aller se promener ? Finissant d’avaler le tout, j’avais tourné les yeux vers Dorian en souriant.

- Oué carrément ! On peut faire le tour du lac. Ou du moins en parti parce entier ça va nous prendre la journée.

C’est que l’air de rien, la bête était grande. En plus pour peut que des parties soit bloqué par la neige ou des arbres tombé et que ça nous pousse à faire un détour de ouf a travers la forêt. Mais oui en tout cas ça pouvait être une idée sympa. Pas comme si on avait trente six mille choix d’activité possible en même temps.

- J’adore l’hiver mais la maison est quand même plus sympa en été. Enfin plus d’activité. Entre pouvoir ce baigner, ce promener, faire du vélo et tout…

Parce que bon la a part ce promener, faire des bonhommes de neige,… Bon certes on pouvait aussi s’envoyer en l’air à travers toute la baraque mais la dans l’immédiat je n’étais pas tellement porté sur cette activité. J’avais plus mal ce n’est pas le souci. Enfin du moins plu mal physiquement, l’égo en revanche c’était encore un peu autre chose…

L'idée d'aller se promener semblait plaire à Alby. En même temps, le mec, peu à peu, Dorian se disait que c'était genre un homme des bois. Vous voyez un peu le genre ? A vivre en communion avec la nature, capable d'aller chercher lui même sa nourriture, pas effrayé de voir des bestioles visqueuses et dégoûtantes … Un truc comme ça.

- On a bien une fois traversé le lac à la rame. Bien que j'ignore si on en a fait vraiment la traversée totale.

Pour aller chez leur amie Leslie. Ou du moins sur la petite ile ou il y avait la chapelle abandonnée et tout. Et puis de toute façon, ça va bien plus vite lorsqu'on coupe au milieu que lorsqu'on en fait le tour. Mais oui, faire le tour du lac, ou une partie comme dit, c'était sympa. S'il n'y avait pas une nouvelle dispute qui tournait mal et que l'un des deux ne finisse sous la glace. Argh ! Ne pas penser à ça dès le matin. Il est vrai qu'en été, il y avait plus de choses à faire à l'extérieur qu'à l'intérieur. Mais vu qu'ils ne pouvaient pas non plus aller faire toute la liste des choses possibles à faire, du moins pour l'extérieur il est vrai que leur champ d'activité était réduit à ce qu'ils pouvaient faire dans la maison. Relevant sa tasse à ses lèvres, le blond avait alors regardé Alby.

- Ne t'en fais pas, je saurais t'occuper.

Il lui adressa un clin d'oeil avant de boire une nouvelle gorgée de la boisson chaude. Pas besoin de chercher bien loin ce à quoi Dorian faisait allusion. La mésaventure dans la baignoire ? Aller, ça arrive à tout le monde de se vautrer misérablement de la sorte. Non ce n'est pas le cas mais bon. Il n'était pas bon de rester sur un échec ou une … ou une couille oui … Vous voyez le truc.

- Après tout on a la dernière saison de Gossip Girl à regarder.

Fit-il sur le ton de la plaisanterie. Aller, un peu d'humour dans ce monde !

Buvant une gorgé de café, j’avais abaissé ma tasse, faisant une négation de la tête tout en avant et relevant les yeux vers Dorian.

- Non l’ile ce trouve au milieu du lac. Et encore je pense même qu’elle est plus proche de nous que de l’autre rive. De souvenir je crois qu’il fait dans les cinquante hectares en superficie.

Donc si on devait s’en taper tout le contour, on n’avait pas fini ! Ma tasse de retour a mes lèvres, j’avais manqué d’avaler de travers a la réplique de Dorian, le regardant un peu surpris avant d’affiché un petit sourire. Oui j’avais bien compris la référence. Juste qu’après tout ça me… oué non on parlait de Dorian. J’vois pas pourquoi j’avais été surpris en faite. Ouvrant la bouche pour répondre un truc genre « je prends note », je m’étais ravisé, baissant la tête en soupirant mais au final amusé par sa connerie.

- Oh joie !

Dit sur le ton du mec que ça ne branchait pas du tout. Non pas du tout on vous dit alors chute ! Tien d’ailleurs ça me faisait pensé a un autre truc. Petite réflexion a la chose dans ma tête. Bonne réflexion cette fois pas de panique avant de tourner un œil vers Dorian, un petit sourire malicieusement mystérieux.

- Si t’es sage et gentil je t’offrirais peut être un truc…

L’hôpital qui se fou de la charité on sait. Mais qu’il n’en doute pas, mon cadeau lui ferait plaisir. Enfin il allait vraiment falloir être mignon de chez mignon pour l’avoir ! Et pas seulement a coup de sexe.

Bon, elle pouvait se trouver à deux mètres comme à deux kilomètres, ça restait Alex et Dorian qui en avaient fait la traversée à la rame, comme des bonhommes alors chut ! Certes guidés par Alby mais la n'est pas la question. En tout cas, les lieux étaient bien grands et vastes. De quoi faire pour les amoureux de la nature et autres trucs comme ça. Pas que Dorian n'aimait pas tout ça mais il était plus dans son élément en ville, c'est tout. Tiens, que disait il hier soir ? Comme quoi il semblait le connaître, mais visiblement pas assez. Quoi, est ce si étonnant une réplique dans le genre placée de bon matin ? Voyons, c'est le meilleur moyen de résoudre ses soucis, un p'tit coup au lit et c'est oublié. Alors qu'attendaient-ils ? A se le demander.

- Et fais pas genre je sais que t'as envie d'avoir le fin mot de l'histoire !

En fait il n'en savait rien s'il en avait envie ou non, vu qu'il râlait à chaque fois. Bien qu'il mettait moins de cœur à cela au fur et à mesure. La résignation peut être ou l'idée qu'il était bientôt au bout de ses peines. Pourtant il l'aurait juré, il avait vu Alby se retenir de verser une petite larmouille à la dernière séparation de Chuck et Blair. Soit. Reportant sa tasse à ses lèvres, Dorian vit alors le petit sourire qu'eu Alby, et, naïvement, bu une gorgée. Et l'avala de travers à s'en étouffer avec aux paroles d'Alby. Après avoir toussé deux trois fois pour relancer la machine, Dorian avait alors regardé le brun, ne le croyant pas spécialement.

- Quoi, toi ? M'offrir un truc ? Sans me le faire languir trois pleines lunes ? Mais il se passe quoi dans cette maison ?

Un truc de fou. Il se mettait à l'humour ça y est? Cela commençait bien en tout cas.

- Et puis tu le sais, je suis toujours sage et gentil. L'exemple même de la chose alors tu peux passer directement à la partie la plus intéressante.

On teste hein ! Et puis vu qu'il n'avait pas la moindre idée de ce qu'il avait en tête, ne sachant pas si ça valait le coup d'être plus sage et gentil qu'il ne l'était habituellement …. Généralement, il n'aimait pas spécialement le chantage. Et non, lorsqu'il disait aux gens de ne pas s'approcher d'Alby sous peine de terribles souffrances, ce n'était pas du chantage mais un avertissement. Ils s'en rendaient bien vite compte par après. Enfin la, il allait devoir lui en dire plus pour que son petit manège fonctionne.

Le retour de la grimace en nianiania a la remarque de Dorian avant de lever les yeux au ciel. Non mais genre je le faisais toujours attendre trente ans pour lui donner un cadeau… Non d’abord ! Ma virginité je lui ai donné très vite ! Et toc ! Bon pour le reste… c’est bon hein.

- Très mignon et gentil ça. Ça donne vraiment envie de te faire plaisir…

Gosse ingrat. On lui promet je graal et c’est comme ça qu’il nous remercie ? Oui bon il ne sait pas encore de quoi il s’agit mais venant de moi il devait bien se douter qu’il s’agissait de quelque chose de merveilleux non ? Non ? Pour la suite de ses dire par contre, petit ricanement quelque peu exagéré et moqueur. Lui toujours sage et gentil ?

- Comme la fois ou je t’ai demandé de me filer un Ferrero et que voyant qu’il n’en restait qu’un tu la mangé devant moi ?

Il avait carrément joué avec sa vie ce jour la quand même. On ne plaisante pas avec la bouffe. Ça va qu’il avait su se faire pardonner par la suite et encore… je l’avais toujours en travers ! Mais bon voyant que Dorian semblait attendre plus de précision quant a son potentiel gain, je réfléchi brièvement sur comment dire ça sans en dire trop.

- C’est… quelque chose qui concerne mon père.

Dit comme ça, ça restait plutôt vague. En même temps c’était un peu l’idée. Mais de ce que j’avais pu voir, Dorian s’intéressait pas mal a tout ce qui pouvait concerner mon père, mon enfance tout ça. Alors peut être que cette brève information titillera suffisamment sa curiosité. Finissant ma tasse de café d’une traite, je m’étais relevé avant de m’approché de Dorian pour l’embrasser a la volé.

- Bon j’vais mettre mes chaussures.

Qu'on bouge un jour quand même. Avant qu'il n'arrive a me faire cracher le morceau au moins.

Bien sûr qu'il était mignon et gentil. Le fils parfait que tout parent rêve d'avoir, le gendre parfait et le petit ami idéal ! Un rêve sur pattes Donc oui, forcément, ça donne envie de lui faire plaisir et de récompenser son existence même. CQFD. Tout simplement. Le coup d'avoir mangé le dernier Ferrero ….

- Aller tu t'en es remis ! Non ?

Non ? Bon. Même si ce fut sacrément marrant sur le coup de faire chier Alby de la sorte, pendant un quart de seconde, Dorian s'était quand même dit qu'il avait des sacrés tendances suicidaires pour avoir fait ça, en voyant la lueur qu'il avait eu dans les yeux à ce moment la. Un danger public en fait le mec dès qu'on parlait de bouffe, c'est fou ! Alors ce qu'il voulait lui offrir, c'était quelque chose en rapport avec son père ?

- C'est trop précis ça, tu peux pas être plus vague ?

Non mais tellement de précision, encore un peu et Dorian allait deviner tout seul le truc. Quoiqu'il en soit, ça avait réussi à attiser sa curiosité ces quelques mots. Pour sûr, l'enfance d'Alby et ce beau père qu'il ne connaîtra jamais était toujours des sujets qui l'intéressait grandement.

- J'ai hâte de voir ça.

Fit-il alors qu'Alby vidait sa tasse. Tournant la tête vers lui lorsqu'il vint lui voler un baiser, le blond hocha la tête à ses mots. Effectivement, il serait bien de bouger un peu s'ils voulaient se promener.

- Vas-y, je te rejoins.

Le temps de vider sa tasse aussi et de débarrasser la table du moins. La encore, ce n'est pas Alby et ses jolies promesses qui allaient faire ça. Une fois son café d'avalé, il rangea tout ça histoire de faire un minimum propre. A son tour il alla enfiler ses chaussures, fermant son gilet sur son torse avant d'enfiler manteau écharpe et gants. Alby et lui même parés pour aller marcher dans la neige au bord du lac gelé, ils sortirent alors de la maison pour ce faire. Une main dans sa poche, il avait prit dans la sienne celle d'Alby, se mettant en route. Enfin, même s'ils ne faisaient que marcher le long de l'eau, il laissa le brun les guider vers ou il voulait aller. Pas qu'il risquait de se perdre, enfin, quoique …. Relevant les yeux pour observer les lieux, paysage qu'il avait déjà vu il y a quelques temps, mais redécouvrait encore avec la neige.

- C'est quand même sacrément beau avec toute cette neige …

Fit-il presque pour lui même. De base les environs étaient beaux, mais avec ce manteau blanc, c'en était que plus.

Chaussures misent a l’étage, j’étais redescendu rejoindre Dorian, passant a mon tour manteau écharpe gant ainsi que bonnet. Tous deux prêts, c’était donc partie pour une petite ballade hivernale autour du lac. Une main dans cette de Dorian et l’autre qui restait à se balader dans le vide, touchant distraitement les branches, fougères et autre truc a ma porté quand on passait a coté, je regardais moi aussi vers le lac, un petit sourire aux lèvres en repensant a certains souvenirs.

- Oué c’est clair. Central Park c’est sympa mais ça n’a rien à voir.

Le parc en lui-même était magnifique c’est sur. Mais bon ça restait un parc urbain. Puis même pour la neige, avec tous les gens qui y passaient, la piétinaient, ça n’avait pas du tout le même aspect. Ici tout était comme vierge. Seul nos pas à Dorian et moi ainsi que quelques traces d’animaux la marquaient. Et d’ailleurs… Tirant sur le bras de Dorian pour l’arrêté, je lui avais doucement montré une direction dans la forêt avec mon doigt.

- Regard, une biche et son bambi.

Oui je sais, on dit un faon. Sachez que moi, bébé vache et Bambi on vous emmerde… Quoi qu’il en soit, il y avait bien une biche et son bam.. et son faon dans les bois, a peut être vingt mètre de nous. Truffe dans la neige, à retourner celle-ci sans nul doute a la recherche d’une petite pousse d’herbe ou autre. Super spectacle à voir. C’était quand même autre chose que les canards et signes de Central Park. Pour le coté forêt il y avait bien les écureuils mais ils étaient tellement habitué et familier a l’homme que ça en perdait tout son charme…

Non c'est sûr que Central Park n'avait rien à voir du tout avec cet endroit. Certes le parc était beau, Dorian n'avait rien à y redire, grand et bien aménagé. Mais voilà, c'était aménagé. Ici tout était naturel. S'arrêtant en sentant Alby l'y inciter, il tourna le regard vers lui pour voir ce qu'il lui avait prit à le stopper. Suivant ensuite la direction qu'il lui indiquait. Ah oui tiens, des animaux ! Des courageux pour aller chercher de quoi manger sûrement. Une biche et son bambi …. Dorian ricana doucement avant de sortir son autre main de sa poche pour la poser à la joue d'Alby, du coté opposé à lui afin de lui rapprocher la tête et d'embrasser son autre joue, un sourire sur ses propres lèvres.

- Un bambi, il est mignon.

Son mec, pas l'animal. Alala, ce Alby ! Relâchant son visage, Dorian avait tourné une nouvelle fois son regard vers la petite famille animale. C'était joli à voir c'est un fait. C'est clair que c'est pas à New York qu'on allait pouvoir assister à cela. Ou du moins pas dans un état sauvage, hors d'un zoo.

- Si on leur balance une boule de neige, tu crois qu'ils l'évitent ?

Lui demanda le blond d'un air amusé. Bien sûr que non, Dorian n'allait pas faire ça ! Emmerder les gens, oui, mais les animaux non. Pas qu'il était fervent défenseur de la cause animale, mais ces pauvre bestioles n'avaient rien demandé au monde. Et puis c'était de beaux animaux aussi.

- Aller viens on va les laisser tranquille. J'ai pas envie d'être la quand le chasseur les trouvera.

Sauf si le brun voulait vraiment leur balancer une boule de neige.

- Et dis-moi, lorsque tu vois un lion à la télévision tu dis que c'est un Simba ?

Ou un lionceau c'est Simba et le lion Mufasa ? En tout cas il avait de drôles de tics de langage. Un peu enfantin, mais Dorian trouvait ça assez amusant à entendre chez lui. Un peu gamin, certes, mais un brin mignon. Il taira ce dernier point.

Au rire de Dorian, je prenais conscience de ma connerie. Et merde. Petit nianiania mais tout en gardant le sourire quand il vint poser sa main sur ma joue tout en m’embrassant l’autre, continuant à regarder en direction des deux animaux. Petit air outré en regardant vers Dorian.

- Non mais ça va pas.

Il est fou ce mec. Pourquoi vouloir balancer de la neige sur ces pauvres petites bêtes innocente. Oui certes ce n’est pas ça qui allait les tuer, juste leur faire peur mais quand même. Malade. Décidément mon coté malveillant n’avait pas de limite. Enfin, voyant qu’il n’en faisait rien, je ne bronchais pas plus. Petit hochement de tête pour dire que oui on pouvait y aller.

- C’est pas la saison de la chasse.

Soit dit en passant. Sinon on éviterait de ce baladé comme ça en pleine forêt sans gilet fluo. Et pas sur que Dorian aime bien l’accoutrement. De plus la forêt qui entourait les propriétés comme la mienne, cette de Leslie et quelque une autre était des zones interdite de chasse en toute période sauf danger du à des animaux sauvage et menaçant. Voila c’était la petite minute chasse et pêche… Reprenant la marche, j’avais tourné mon regard vers Dorian, un petit Tss et un air mécontent.

- Bah non c’est bon, quand même…

Juste les chats roux qui pour moi étaient tous des simba… Et note a moi-même, ne jamais aller au zoo avec Dorian pour voir les Tim… les suricates. Tien pour le coup tout en marchant, on passait à coté d’un tronc d’arbre couché le long du lac. Passant discrètement ma main dessus pour en récolté la neige, je l’avais ensuite envoyé au visage de Dorian, relâchant ma main et m’éloignant légèrement, distance de sécurité tout en le regardant avec un large sourire.

- Oups.

S'il le disait, Dorian le croyait. Aucune idée pour lui si c'était la saison de la chasse ou non ! Genre Dorian s'y connaissait dans ce domaine la. C'était juste pour la blague, Bambi, sa mère et le chasseur. Tout ça quoi. Marche reprise, le blond avait adressé un petit sourire en coin à Alby.

- Je ne fais que demander !

Après les steak de bébé vache et tout ça, quelle était la prochaine étape qu'il ignorait ? Les poissons, c'était tous des Némo et il savait plus quel nom du même truc ? Un contact soudain et surprise avec de la neige en pleine tronche le tira alors de ses rêveries. Sursautant légèrement en secouant ensuite la tête, le regard dirigé vers le brun. Qui en avait profité pour reculer à distance respectable.

- Non mais t'es pas bien toi.

Déclarer la guerre à un allemand la ! Ouaip, la même rengaine on sait. Passant sa main sur son visage pour en dégager la neige qui avait pu rester, Dorian soupira alors.

- T'en as pas marre de me tartiner la gueule ?

De neige et autre …. Il disait ça, mais en fait, il s'était bien vite baissé pour ramasser de la neige dans ses mains et les presser l'une contre l'autre pour en faire une boule, se redressant alors pour la balancer à la tête d'Alby, pas bien compliqué à rater à cette maigre distance.

- Tiens, je t'en donnerais des oups.

Lui fit-il avec un sourire en coin, pas vexé le moins du monde bien entendu.

Naturellement, large krkrkr a la remarque de Dorian comme quoi je n’étais pas bien. A sa gueule aussi. Bon part contre, bien que gardant le sourire, j’avais pris une tête a un plus basé a son histoire de lui tartiner la gueule, secouant légèrement la tête de droite a gauche.

- C’es classe, élégant, raffiné,…

Tout Dorian quoi. Mais bien évidement, cette simple phrase avait réussit à me faire remémorer mes souvenir. Petit huhuhu intérieur a certaine vision qui me passait en tête. Enfin, voyant Dorian ce baissé pour ramasser de la neige, j’en avais alors fait rapidement de même, me redressant pour me prendre royalement sa boule de neige en pleine gueule. Ok la c’était la guerre. A mon tour je lui avais lancé ma boule dans la neige, me déplaçant tout en en ramassant d’autre pour refaire des boules de neige. Esquivant les attaques de Dorian, ou non, a me les reprendre dans la gueule ou sur mon manteau. Malgré tout j’arrivais aussi à lui en envoyé par mal dessus, même si comme lui je le loupais aussi pas mal. Rapide cette bête la l’air de rien. Après un petit moment à s’envoyer des boules de neige, a se planqué derrière des arbres et a devoir en sortir quand l’un arrivait à faire une percé en direction de l’autre, j’avais justement fais une de ses percé, attrapant Dorian a la taille pendant qu’il tentait de s’enfuir, le faisan tombé par terre et moi au dessus, rien de violent rassuré vous, c’était une chut métrisé. Au dessus de Dorian donc, sourire aux lèvres, j’avais quand même pris soin d’attraper les poignets de ce dernier.

- Allé rend toi t’as perdu. Si tu persiste je t’abandonne ici.

Et on sait tous se qui arrive au Dorian seul dans les bois même a trois mètre de la maison alors la a trois cent. On ne retrouverait jamais son corps au gars.

Un peu comme deux gosses il faut le dire, les voilà embarqués dans une bataille de boule de neiges, à s'en envoyer, à éviter comme ils le pouvaient celles de l'autre. S'il avait réussi à en éviter, il s'en était quand même pris quelques unes, que ce soit sur son manteau ou en pleine tête quelques fois. Heureusement il avait pu répliquer à son tour par moments aussi, rien de méchant. A éviter les tirs ennemis et à tenter de se cacher derrière les arbres. C'est technique cette affaire-la ! Enfin, mauvais calcul de la part du blond vu qu'à un moment, Alby réussit à se rapprocher de lui pendant qu'il tentait de l'éviter, à courir en direction d'une autre cachette, mais non. Se sentant attrapé à la taille, il fut ensuite plaqué en pleine neige, bien vite surplombé par Alby, le maintenant par les poignets, lui demandant de se rendre. Sous peine de l'abandonner ici. Tête du mec choqué et peiné.

- Tu ferais ça ? M'abandonner ici ? Seul dans un milieu inconnu ? Toi ?

Monstre de cruauté ! Quand même, il ferait bien un de ces jours de se prendre des notes de cette émission, Man VS Wild, ça pourrait lui être utile un de ces jour, s'il se perdait pour de bon tout seul quelque part. Bien que, conscient quand même de ce manque d'orientation, pas question de se promener tout seul dans des lieux inconnus. Même connus d'ailleurs. Mais revenons à ce monstre de cruauté donc, qui surplombait Dorian.

- Moi qui suis si gentil et mignon ?

Pour lui prouver sa mignonnitude, Dorian avait relevé l'une de ses jambes pour aller doucement la frotter à l'entre jambes d'Alby, un petit sourire en coin à ses lèvres. Bien sûr que c'était mignon ce geste, vous en doutez ?

- Mais très bien je me rends. Je capitule.

L'histoire se répète. Le blond avait alors soupiré, l'air résigné. En même temps, il n'avait pas envie de tenter le diable. Pas qu'il doutait qu'Alby soit bien capable de l'abandonner pour de bon ici même … mais si. Justement. Il lui avait déjà fait le coup dans les parages alors retenter l'expérience ne lui plaisait pas du tout ! Plissant légèrement les yeux, il ajouta cependant :

- N'oublie pas que tu as gagné la bataille … pas la guerre !

La guerre de quoi, ça, reste à le savoir.

Oh il pouvait prendre son petit air de victime, ça ne prenait pas. D’ailleurs en réponse à sa question, je gardais mon sourire tout en hochant la tête comme pour dire que oui je n’aurais aucun remord à l’abandonner ici. Chose qui était fausse bien entendu. Certes je l’avais déjà fais mais c’était en nous trouvant juste à coté de la maison. J’avais un peu sous estimé son manque total d’orientation ce jour la. Aujourd’hui, vu la distance qui nous séparé de la maison, même si en soit ce n’était pas grand-chose, mais en terme de Dorian… Donc non, je ne le laisserais pas ici seul. Et pour le moment, plus large sourire en sentant la jambe de Dorian venir se frotter a moi, m’y collant pour le coup par reflexe un peu plus.

- Je dirais plutôt manipulateur mais soit…

L’amadouement sexuel, parlons en. Un grand classique chez Dorian. Loin de me déplaire certes mais la n’est pas la question. Oh et il se rendait, très bien. Pour ce qui était d’avoir gagné la bataille et non la guerre on rigole doucement. Je gagnais ce que je voulais contre Dorian c’était bien connu. Mais qu’il continue à se bercer d’illusion si ça lui fait plaisir. Quoi qu’il en soit, toujours au dessus de lui a le regarder, petit sourire malicieux.

- Et tu sais se qu’on leur fait au prisonnier de guerre ?

De ce qu’il se disait du moins. Me penchant un peu plus sur Dorian, j’avais été poser mes lèvres sur les siennes, l’embrassant doucement bien qu’allant bien vite ouvrir ses lèvres pour y faire entrer ma langue, allant caresser la sienne. Libérant doucement ses poignets pour aller passé une main sur sa tête et l’autre sur son épaule.

Dorian ne retint même pas un petit rictus amusé en constatant qu'Alby s'était un peu plus collé à sa jambe en réponse à son frottement. Manipulateur ? Qui ? Lui ? Nouvelle expression outrée du blond. Nous remarquerons au passage le panel d'expression à son actif. Qui soit dit en passant contenaient peu de visages tendres, du moins voulu, mais bon.

- Je plaide l'innocence, vraiment, je nie tout en bloc.

Lui manipulateur ? Avec Alby ? Avec le sexe ? Oh … si peu. Mais ce n'est pas comme si ça avait tendance à fonctionner on ne peut mieux pas vrai ? Et comme si le brun allait s'en plaindre ? Voyons, à d'autre. Continuant à fixer Alby, Dorian le regarda alors avec à son tour un léger sourire aux lèvres, en voyant celui du brun. S'il savait ce qu'on fait aux prisonniers de guerre ?

- On ne peut mieux oui. Pourquoi cette question?

On les ligote, on les menotte. Puis on les cloître dans de petites cellules miteuses, et de temps à autre on les torture pour les faire parler. La fameuse torture de la noyade par exemple, un classique. Et puis il y a les persécutions morales, à leur faire languir une possible libération qui ne viendra peut être jamais et … Pourquoi est ce qu'Alby voulait faire tout ça à sa noble personne ? Violent le gars. Mais à la vue de ses nouveaux gestes, il semblerait que ce ne soit pas le cas. Le regardant se pencher vers lui, Dorian ferma alors doucement les yeux en sentant ses lèvres sur les siennes, qu'il ouvrit sans peine pour lui laisser libre accès à sa bouche. Bougeant sa langue contre la sienne. En sentant Alby lui relâcher alors ses poignets, il avait passé ses mains à la taille du brun, accrochant ses doigts dans son dos. Mettant brièvement fin au baiser, Dorian avait alors regardé Alby dans les yeux, sans pour autant reculer vraiment de ses lèvres.

- J'ai un geolier qui sait ce qu'il fait … difficile de se défaire d'une torture si plaisante.

Retournant aux lèvres d'Alby, allant de nouveau à la rencontre de sa langue, Dorian avait recommencé à bouger sa jambe contre lui de manière un peu plus insistante. Rendant ce baiser plus animé par la même. A bouger ses mains dans le dos d'Alby pour le presser davantage contre lui. La neige dans son dos et à l'arrière de son crâne ? Pas important. Un détail.

Durant une fraction de seconde, la réflexion comme quoi menacer Dorian de viol du fait de sa capture m’était paru totalement con au vu de certain récent problème, me traitant du coup moi-même de con. Mais ça semblait aller. Dorian ne semblait pas avoir relevé la chose ou du moins n’en était pas perturbé vu sa façon de répondre a mon baisé et de venir passer ses bras autour de moi. Prolongeant donc ce baisé, il avait tout de même pris fin un court ainsi, le temps que Dorian n’y aille de sa petite réplique qui bien sur me fit largement sourire avant de retourner a ses lèvres, profitant allègrement de celle-ci et des gestes de ce dernier qui se faisait plus insistant. M’incitant moi-même à me presser plus contre lui et a répondre avec plus de ferveur a son baisé. Ce fut a mon tour de mettre fin juste un temps au baisé, redressant légèrement ma tête au dessus de Dorian.

- Tu pourrais au moins faire semblant d’émettre un peu de résistance…

Un peu comme moi au début quand Dorian venait vers moi pour m’embrasser ou plus et que, pauvre petite chose agressé je tentais de le repousser de mes petits bras impuissant. Oui c’est beau d’y croire encore hein. Bon après un prisonnier docile m’allait tout aussi bien. C’est d’ailleurs pour ça que j’étais retourné aux lèvres de Dorian, d’une façon un peu plus passionnelle, pressant mes mains sur lui tout en faisant de même avec mon bassin sur sa jambe… Enfin, c’était bien mignon tout ça. Très intéressant et qui donnait plutôt matière a idée… et c’était justement ça le problème. Un peu trop d’idée en tête qui me venait pour un lieu pas du tout adéquate a tout ça. Me redressant a nouveau, bien que faible que je suis, pour aller pas plus loin que sa mâchoire et son cou.

- Faudrait qu’on reprenne notre balade quand même…

Et pas resté comme deux cons à ce chauffé dans la neige glacé ou, après avoir faillir perdre un membre très important de mon corps hier, il était hors de question que je renouvelle l’expérience par cette fois hypothermie.

Emettre un peu plus de resistance ? Emettre une quelconque résistance pour débuter oui ! Enfin, si ça pouvait lui faire plaisir il n'avait qu'à le faire, aucun problème. Et non, pas de soucis dans sa tête par rapport à un passage de leur vie qui lui était revenu violemment en tête il y a peu. Pendant un quart de seconde, Dorian y avait pensé. Et … en fait, non pas que ça l'avait dérangé, mais lui avait donné une autre idée, pour passer définitivement au dessus de cette histoire. Il n'était pas sûr que ça enchante Alby, mais à tester à l'occasion. De toute façon, la dans la neige ce n'était pas possible. D'autant plus que le brun sexy au dessus de lui réussissait bien à lui changer les idées avec ce baiser. Soupirant d'aise contre ses lèvres en agrippant davantage le manteau du brun entre ses doigts. Le blond se sentait également doucement s'emballer avec tout ça. A la manière dont Alby bougeait son bassin contre sa jambe. Oh tout ceci était vraiment très stimulant. Du coup, c'est bien à regrets qu'il vit Alby se redresser pour lui proposer le truc dont il avait le moins envie en ce moment. En fait tout à part s'envoyer en l'air était dans cette catégorie pour l'heure, mais le blond devait avouer qu'il avait raison. Certes, tout ceci était bien excitant et tout mais la neige et le froid...

- J'imagine que tu es la voix de la sagesse en ce moment même.

Clairement pas Dorian et ce dont il avait envie. Aller, avec un dernier baiser de volé, Dorian s'était donc résigné. Poussant doucement Alby pour le faire se relever, Dorian en avait fait de même, passant une main à l'arrière de son crâne pour retirer la neige qui avait pu y rester. Puis, il releva les yeux vers Alby. Lui adressant un de ses regards d'allumeurs avant de se rapprocher de lui à l'agripper par le col de son manteau de venir l'embrasser à pleine bouche. Dorian ? Résigné à ne rien faire ? Vous êtes mignons. Vraiment. Mais la ce qu'il avait envie de faire pour le moment ne le concernait pas spécialement lui. Relâchant une main d'autour du col due manteau d'Alby, il l'avait descendue le long du corps du brun par dessus les vêtements épais, pressant un peu plus sa main pour arriver à son entre jambe, a le caresser au dessus de son pantalon. Délaissant la bouche d'Alby, Dorian avait dirigé la sienne à l'oreille du brun.

- La balade attendra.

Genre la maison toute entière n'était pas assez grande vous voyez. Retournant à ses lèvres, allant retrouver sa langue de la sienne, Dorian avait commencé à lui ouvrir la ceinture.

La voix de la sagesse si on veut. Parce en tout cas celle dans ma tête était plutôt en train de m’engueuler car ce n’était surement pas de balade qu’elle avait envie. Mais en effet, il fallait bien. Ce n’était pas le lieu pour laisser place à nos pulsions. Un peu de tenu quoi, y’a Bambi pas loin. Repoussé si on peu dire, par Dorian, je m’étais relever, aidant celui-ci à faire de même avant de m’épousseter un peu bien que étant au dessus je n’avais pas beaucoup de neige sur moi. Plus les restes de notre bataille précédente. Finissant ceci j’avais relevé les yeux vers Dorian et… son air ne me disait rien de bon. Oui si plutôt, mais encore une fois, le contexte ne si prêtait pas vraiment. Pas le temps de lui dire quoi que ce soit avant que celui-ci ne vienne agripper mon col et venir plaquer ses lèvres contre moi. Bien entendu j’avais répondu a son baisé avec joie, passant moi-même mes mains a sa taille mais quand même. Pas bien raisonnable tout ça. Et malgré tout, en sentant une de ses mains descendre le long de mon corps pour aller se presser a mon entre jambe, un sourire s’était dessiner sur mes lèvres entre même temps que je l’embrassais, échappant au passage un soupire de plaisir. Nouveau soupire en l’entendant a mon oreille mais vraiment…

- Dorian…

Le retour du ton de la maman qui averti son gosse. Gosse qui venait de nouveau de venir gagner ses lèvres pour un baisé des plus parlant auquel je répondais à nouveau. Mais sentant le blond aller pour ouvrir ma ceinture, j’avais de nouveau souris mais tout en détachant mes lèvres des siennes.

- Arrête idiot, on ne va pas faire ça ici…

Le but ultime de ça vie je sais bien. Réussir à m’avoir pour qu’on le fasse en public. Alors certes ici, peu de chance qu’on tombe sur quelqu’un mais quand même, un peu de tenue. Descendant mes mains à ma ceinture et surtout attrapant les siennes pour l’arrêté, je l’avais embrassé par à-coup avant de partir dans son cou afin d’embrasser a nouveau celui-ci.

- On peut rentrer à la maison si tu veux…

Parce que bon clairement la balade était terminée, à peine commencé oui. Mais pour autant on ne serait pas mieux au chaud dans le lit ? Ou dans l’escalier, la cuisine, le salon, peu importe…

Alby pouvait bien prendre le ton de voix qu'il voulait, ça ne changerait rien. Rien du tout. Bien motivé à aller jusqu'au bout de la chose en fait. Et puis, il lui avait fait la remarque qu'il n'offrait pas beaucoup de resistance tout à l'heure, on en parle de celle d'Alby ? Juste comme ça quoi. Ne pas faire ça ici.

- Et pourquoi pas.

Il avait peur de quoi, qu'un faon sauvage apparaisse et vienne les mater en pleine action ? Oh aller, qu'est ce qu'on s'en fout. Sérieux. Ah voilà enfin un petit peu de résistance lorsqu'il vint poser ses mains sur les siennes pour lui faire stopper son petit manège. Pas trop crédible non plus lorsqu'il le sentit poser ses lèvres dans son cou. Et la maison ?

- Non, elle est bien trop loin.

Pas tant que ça à vrai dire, ils n'avaient pas beaucoup marché il est vrai. Peut être quoi ? Cinq minutes, dix au grand maximum ? Et encore, bataille de boules de neiges comprise. Hors, pour l'heure, retrouver le petit confort de la maison ne lui disait pas. Quoique confort quand on sait comment ça s'est terminé la veille … Passons. Dégageant ses mains de celles d'Alby, Dorian les avaient posées à sa taille pour aller le pousser en arrière, contre le premier tronc d'arbre venu. L'y plaquant de son corps, il avait une nouvelle fois retrouvé ses lèvres tandis que ses mains retournèrent à sa ceinture pour l'ouvrir. Qu'il soit d'accord ou non, enfin, son corps disait clairement que oui. Ouvrant ensuite le pantalon d'Alby, Dorian s'était défait d'un gant pour glisser sa main gardée chaude entre les vêtements qu'il portait pour aller le caresser. Se détachant de ses lèvres, Dorian lui lança un nouveau regard d'allumeur.

- Si c'est le froid qui te dérange ne t'en fais pas.

Affichant un pur sourire de pervers, Dorian lui avait alors doucement mordillé la lèvre inférieure, ne le quittant pas des yeux. Relâchant sa lèvre doucement, il lui fit un clin d'oeil.

- Je saurais te garder bien au chaud.

C'est ainsi que Dorian disparu du champ de vision d'Alby tout en même temps qu'il avait un peu descendu son pantalon, assez pour en sortir son membre, et aller sans plus tarder l'emprisonner de sa bouche chaude.

Pourquoi ? Et bien parce que malgré se que mon corps laissait pensé, je n’étais pas du tout open pour faire ça dehors, a la vu de potentiel autres promeneurs et aussi dans le froid. Et la maison bien trop loin ? Tout en l’embrassant dans le cou j’avais levé les yeux au ciel. Elle était à trois cent mètre la maison. On en avait même pas pour cinq minutes en pressent le pas.

Sentant Dorian dégager ses mains des miennes, j’avais relevé la tête pour le voir avant de me sentir poussé en arrière et plaquer contre un arbre avant que Dorian ne vienne ce collé contre moi et l’embrassé. Collé à ses lèvres, mes mains se débattant toujours avec les siennes (il était filant le mec quand il voulait !) j’émettais des gémissements de protestation contre ses lèvres. Un peu plus je crierais au viol mais ça serait de mauvais gout… Toujours contre ses lèvres, petit gémissement mais plus d’un plaisir étouffé celui-ci en sentant la main de Dorian sur moi. Bon la mes mains mettaient certes un peu moins de ferveur à me défendre mais quand même, sachez que je n’étais pas d’accord.

- Dorian arrête, j’veux pas…

Qu’il m’en garde au chaud ou non. Bon après ce n’est pas tellement que je ne voulais pas mais pas ici en tout cas. Enfin ça, ce dernier semblait s’en moquer un peu vu qu’après avoir relâché ma lèvre qu’il mordillait, celui-ci avait plongé d’un coup pour aller se placer au niveau de mon entre jambe et me prendre directement en bouche. Naturellement, premier réflexe, large gémissement de plaisir. Parce que quand même quoi. Les mains sur sa tête à caresser ses cheveux aussi c’était du reflexe. Petit temps pour tenté de reprendre mes esprits, fermant les yeux pour ne pas le voir mais du coup a encore mieux sentir tout ça… quel bordel.

- Dorian… s’il te plait… a la maison…

Non non non… Le fait que j’avais du mal a prononcé ma phrase, ma respiration gémissante, mes mains qui caressaient se cheveux tout en se crispant légèrement dessus. Ce n’était en rien des signes de plaisir mais bien de torture sachez le. Non plus le fais que j’avais tendu ma tête en arrière pour aller l’appuyé contre l’arbre en soupirant de plus belle. Un peu sur ma fin d’hier peu être oui… L’émotion dela surprise tout ça, maintenant il faut se reprendre. Baissant les yeux sur lui - bref coup de chaud dans mon corps en le voyant, pour sur qu’il me réchauffait bien en tout cas – J’avais passé ma main sur son front pour lui faire lever les yeux vers moi, sans me faire sortir dans l’immédiat de sa bouche, fait froid quand même hein. L’air un peu plus sérieux, tentant de ravaler tout mon plaisir.

- Dorian pas ici…

Il ne voulait pas, ça, laissez-le douter quand même de la chose. Il était mignon. Parce que le râle de plaisir qu'il poussa lorsque Dorian le prit en bouche, excusez-le, mais ça lui laissait quand même bien penser le contraire. Pareil pour ses mains à ses cheveux, ça, c'était la crédibilité même le gars. Aussi, le blond en profita pour commencer des va et viens sur lui, sans trop le relâcher. Etant donné qu'il faisait quand même froid, il n'allait pas s'amuser à le sortir de sa bouche pour lui donner quelques coups de langue. Pas des plus agréable non plus.

Ah et le voilà qu'il lui demandait de faire ça à la maison. Oh mais vraiment, niveau crédibilité …. Tiens, pour peu ça lui rappellerait les débuts. Lorsqu'il tentait vainement de le repousser. Ok petite pensée pour lui même, de base, Dorian devait être quand même sacrément dérangé pour continuer à lui sauter dessus quand bien même Alby tentait de le repousser …. Euh pensons à autre chose. Comme la respiration d'Alby qui s'emballait par exemple. Ça c'était bien. Oh, ses mains qui se crispaient dans ses cheveux oui. Tenant ses hanches entre ses mains, Dorian continuait de lents mouvements sur son membre lorsqu'il sentit la main d'Alby venir se poser à son front. Relevant les yeux vers lui, Dorian releva un sourcil en entendant sa supplique. Son air qui se voulait sérieux, à lui redire pas ici.

Non mais ce gars …. ça lui apprenait qu'une fois il s'était envoyé en l'air en pleine rue, et la, ça faisait le prude pour une pauvre petite pipe au calme dans les bois. Alors que les seuls témoins ça pouvait être des faons, des ragondins ou des écureuils. Oui des des vers de terre et des fourmis mais ne pensons pas à eux. Alors, voyez-vous, Dorian n'avait pas la moindre envie d'accéder à sa requête. Aucune.

Profitant du fait qu'Alby avait les yeux baissés sur lui, Dorian soutint alors son regard, y allant de son regard de prédateur, dégageant sa main de son front. Tout en continuant de le regarder, autant que possible du moins, il était redescendu sur sa virilité, l'enserrant de ses lèvres, jusqu'à le fourrer entièrement dans sa gorge, se pressant contre lui et à y rester un bref instant. Avant de remonter sur lui, l'aspirant légèrement, ses mains toujours accrochées aux hanches d'Alby. N'y remontant pas entièrement, juste jusqu'à la moitié, Dorian était redescendu une nouvelle fois, plus rapidement. Et bah voilà aussi, la solution. Si monsieur était si prude. Il n'avait qu'à se laisser aller au plus vite. Bon deal non ?

Si je pensais que Dorian allait lâcher le morceau, sans mauvais jeu de mot, aussi facilement ? Pas tellement non. Les petits espoirs de la vie quoi. Je n’étais pas du tout à l’aise avec l’idée de faire ça, même juste ça, ici, à la vue potentiel d’un passant ou autre. Même si ce n’était que Bambi qui venait nous mater ça me gênerais. Et malgré ça j’étais tout autant incapable de dégager Dorian par la force parce que malgré tout c’était tout de même très bon ce qu’il me faisait la…

Les yeux toujours baissé sur lui, je l’avais donc regardé reprendre son petit manège, a me fixer de la sorte avant de s’enfoncer sur moi, me serrant un peu plus dans ses lèvres, me prenant entièrement jusqu’à en coller son visage contre moi. Forcément, nouveau râle de plaisir à cette vision et sensation. Repartant passer mes mains dans ses cheveux. Nouveau râle en le voyant remonté à moitié pour y redescendre un peu plus vite. Quel chieur quand même. A ne jamais vouloir m’écouter…

- T’es chiant… t’auras pas ton cadeau…

Parce que même si ça partait d’une bonne intention, il était loin d’être sage et mignon là. Dit le mec qui continue de gémir de soupirer, tantôt en le regardant, tantôt en allant plaquer sa tête contre l’arbre derrière lui tout en continuant de passer ses mains dans ses cheveux. A le caresser, ce crispant dans ses mèches et à presser un peu sa tête.

- Si t’arrête pas… j’te jouis à la gueule…

La menace suprême. Il aura l’air fin. Parce que perso, je n’avais pas de mouchoir sur moi. Bon encore et toujours, crédibilité niveau cent à dire ça tout en bougeant un peu mon bassin pour venir à sa rencontre. Pressant en même temps un peu plus sa tête pour le faire continuer à me prendre entièrement en bouche. Râlent légèrement de plaisir à cette sensation. Le chaud de sa bouche contre le léger frisson de froid de quand il me ressortait même un peu. Ce n’était pas désagréable mais un peu bizarre quand même comme sensation. Enfin pour sûr que je préférais être à l’intérieur de ses lèvres. La tête en ce moment plaqué contre l’arbre, les yeux fermé, je continuais de crisper mes mains dans ses cheveux.

- Han… J’ai tellement envie de te prendre…

Si seulement on était à la maison. Parce que je n’allais certainement pas le faire ici comme ça en public et surtout dans le froid. Et même sans parler de ça, pour que j’arrive une fois de plus à me casser la gueule en pleine action en glissant sur la neige ou autre, merci bien !

- J’veux rentrer Dorian… à la maison…

Petite précision quand même, dans le doute hein.

Dorian ricana intérieurement à la réaction qu'eu Alby lors de sa nouvelle descente. L'entendre râler de plaisir de la sorte ainsi que ses mains qui passaient dans ses cheveux de la sorte. Enfin, il ne réagit pas spécialement, continuant de le prendre en bouche, ignorant ses suppliques et ses petites menaces. Il n'aura pas son cadeau ? Bien dommage. Mais son chantage ne fonctionnait pas des masses. La son cadeau voyez-vous, c'était justement les réactions que pouvait avoir Alby. Qui au passage l'en excitait que davantage il est vrai. Ces petits échauffements dans la neige, ça avait réussi à bien le réveiller il fallait le dire. Et les râle de plaisir que poussait le brun, ses mains dans ses cheveux ou de le voir de temps en temps lorsqu'il remontait son regard, le voir bouger sa tête contre l'arbre, ça l'encourageait assez...

Il menaçait de lui jouir à la gueule ? Bah voyons ! Pas qu'il s'en foutait mais voilà. Petite question existentielle, est ce que ça peut geler ? Il cherchera la réponse plus tard, les mouvements de bassin d'Alby lui avaient fait sortir cette question de sa tête assez rapidement. Serrant davantage ses lèvres en sentant ses mains lui presser la tête sur lui. Continuant à l'enfoncer dans sa bouche, accélérant doucement le mouvement sous ceux d'Alby qui allaient à sa rencontre encore pour aller vers sa bouche.

Ah, Alby avait envie de le prendre ? Voila qui était assez problématique. Parce que cette idée était assez tentante, c'est vrai. Mais vu comment Alby était prude pour une simple petite fellation contre un arbre, alors s'envoyer carrément en l'air, quelque chose lui disait que ça n'allait pas être possible. Bon, tant pis. Dorian s'efforça de mettre de coté son envie de lui, qu'il ne le prenne, pour aller de plus belle sur son membre, bougeant sa tête avec énergie sur lui jusqu'à … jusqu'à ce qu'il n'entende Alby lui dire qu'il voulait rentrer. A la maison. Revenant le prendre entièrement, pressant une nouvelle fois son visage contre lui, Dorian ferma les yeux, l'air résigné. Même si Alby ne le voyait pas. Il ne savait pas pourquoi toutes ses menaces n'avaient pas pris, son envie de le prendre non plus, mais ça … bah …. c'est con, mais ça avait réussi à le faire douter.

Sachant très bien qu'Alby allait continuer à faire sa prude pendant un bon moment pour les lieux publics, il savait que la chose allait être laborieuse. Peut importe, parce que c'était quand même un bon début cette pipe dans les bois. On reparle du fait qu'au final Alby réussissait à tout avoir de lui ? A un point que le brun n'imaginait même pas ? Fait …... chier. Résigné, mais néanmoins excité il est vrai, Dorian avait alors enfin relâché son membre, pour rapidement lui remettre ses fringues en place, refermant son pantalon tant bien que mal. Tant pis pour Alby s'il allait être un peu compressé la dedans. Cela fait, il s'était redressé alors pour aller porter ses mains à son visage, et gagner ses lèvres, trouvant sa langue dans un baiser des plus démonstratifs de son état.

- Alors ramène-nous vite à la maison.

Il l'aurait bien fait, le prendre par la main à le guider en courant, mais c'était un coup à ne jamais retrouver la maison …

La tête collée à mon arbre, nouveau soupir de plaisir à sentir Dorian une fois de plus s’enfoncer entièrement sur moi, a y rester quelque peu. J’avais néanmoins rapidement baissé les yeux en le sentant me relâcher et reprendre rapidement mon boxer sur moi. Quand même surprenant de le voir lâcher prise, encore une fois sans mauvais jeu de mot. Le laissant me rhabiller rapidement, je l’avais suivis du regard un peu surpris quand il c’était relevé. Certes depuis tout à l’heure c’était ce que je lui demandais mais qu’il accède a ma requête était au final tellement surprenant… En tout cas c’est sans mal qu’il trouva réponse à son baisé. Passant mes mains sur ses hanches pour le presser contre moi. Rouvrant les yeux pour voir Dorian quand il avait mis fin à celui-ci, j’avais vivement hoché la tête quand a sa requête à lui, lui attrapant la main avant de partir à pas rapidement vers la maison pour ne pas dire à la limite de courir.

Comme je le disais depuis le début, en courant un peu, on n’était pas à plus de cinq minutes de la maison. Temps compris à s’arrêter de temps en temps pour l’embrasser, se coller à lui tout en le serrant contre moi. Que tout ça reste bien dressé quoi même si ça ne risquait pas de descendre de sitôt. Juste trop envie de le sentir contre moi, impatient de la suite. Arrivé à la maison, j’étais entrée en premier, entrant Dorian avec moi que je tenais toujours par la main. A peine entrée et porte violement claqué que je m’étais jeter a ses lèvres. Quittant mon manteau plus rapidement qu’il ne fallait pour le dire avant de retirer tout aussi vite celui de Dorian, le laissant rejoindre le mien au sol avant de partir directement à la conquête de son pantalon, pour ouvrir sa ceinture et le reste tout en restant coller à ses lèvres pour un baisé plein de fougue et plus que parlant quand à mon envie, si jamais l’ardeur que je mettais a le déshabiller ne l’était pas assez. Son pantalon ouvert, j’avais glissé ma main dedans, dans son boxer, allant le caresser tout en le poussant de mon autre main, jusqu’à arriver à l’escalier, le faisant tombé aussi doucement que possible dans celui-ci avant de rapidement venir le surplomber. Couché sur lui, mon pantalon à mi-cuisse tout comme lui, j’allais me presser contre lui, frottant mon membre au sien avant de me redresser légèrement, l’incitant avec insistance et empressement à se retourner face contre les marches. Dorian a genou dans les marches, fesses tendu vers moi, je m’étais penché vers celles-ci, allant passé ma langue sur son intimité avec insistance, salivant quelque peu abondamment dessus avant de me redresser de nouveau, prenant m a virilité en main pour aller me caller contre lui et sans plus de prémices, le pénétrer lentement jusqu’à y entrer entièrement, lâchant un large râle de plaisir que j’avais vainement tenté d’étouffé dans son dos ou je m’étais penché, profitant quelques secondes de ce plaisir tant attendu, continuant de me presser au possible contre lui.

- Oh putain…

Dis dans un soupire empli d’envie et de satisfaction, toujours coller à son dos. Me redresser, une main à la hanche de Dorian et l’autre a tenant son épaule, commençant alors des va et viens en lui, d’entrée de jeu plutôt joyeux à y aller assez rapidement et de manière franche.

Il était bien mignon Alby à s'arrêter de temps en temps pour l'embrasser, c'était plaisant, qu'il n'en doute pas, et même si ça ne durait pas longtemps non plus cela était toujours du temps de perdu dans leur cavale jusqu'à la maison. Même pas capable de tenir jusqu'à la bas ? Non mais dans ce cas qu'ils s'arrêtent sur la première bûche qui passait et qu'ils s'envoient en l'air une bonne fois pour toutes …. De l'avis de Dorian, ça aurait été encore le plus simple. Après il n'était pas seul. Mais la maison n'était visiblement pas loin du tout, puisqu'ils y arrivèrent assez rapidement, malgré ces arrêts baisers qui n'avaient de cesse de l'exciter.

A peine la porte de la maison fermée derrière eux, que Dorian vit Alby se jeter sur ses lèvres, les débarrassant de leur manteaux avec une rapidité surprenante. L'aidant à retirer son propre manteau lorsqu'il s'y attaqua. Sa langue allant contre celle du brun, il se sentit frémir d'impatience lorsqu'il vint ouvrir son pantalon et soupira de plaisir en sentant sa main venir le caresser. Se laissant pousser en arrière, sans jeter un coup d'oeil quand à ou est ce qu'Alby le menait. Ah les escaliers ? On dirait bien. S'y allongeant sans offrir la moindre resistance à Alby qui vint bien vite le rejoindre au dessus de lui. Gémissant contre ses lèvres en le sentant venir se frotter à lui, leur virilité l'une contre l'autre. Très intéressant tout ça, mais s'il passait à l'étape supérieure ? Ah bah voilà. Parfait. Se retournant sans plus tarder sur les marches des escaliers, le blond poussa un léger soupir en sentant la langue d'Alby venir passer sur son intimité, tendant son corps quelque peu sous lui. A la fois impatient et excité, désireux d'en avoir plus car quand même relativement chauffé par ces préliminaires sauvages. Littéralement pour le coup.

Un immense frisson le traversa alors quand enfin, il sentit Alby venir se presser contre lui, le pénétrant de tout son long. Gémissant de plaisir, de concert avec Alby, plaçant un peu mieux ses bras sur les marches pour se caler un peu mieux, prévoyant tout de même les coups de reins qui allaient venir. Et souriant en en coin en entendant le juron du brun dans son dos.

- Quelle vulgarité ….

Souffla t-il la voix teintée d'envie. C'est lui qui disait ça, parfaitement, lui qui insultait père et mère dans ces cas la ( enfin, pas littéralement mais vous aurez compris ). Quand le brun s'était redressé dans son dos, à le tenir d'une hanche et d'une épaule, l'allemand ne pu que prendre une inspiration, sachant ce que cela voulait dire. Et bon sang, ce qu'il avait hâte. Et combien il lui donna satisfaction à bouger en lui de cette manière dès le début. En même temps, vu cette envie des plus pressantes, ça aurait été de la torture que de faire durer le suspens. Et si d'ailleurs, Alby s'était amusé à ça, croyez-le, il aurait remis son propre pantalon en place, aurait soulevé le brun et l'aurait balancé dans la neige le cul à l'air pour finir ce qu'il avait commencé avant. Parfaitement !

Mais le brun s'était sauvé en commençant à bouger dès le début de la sorte. Au grand plaisir de Dorian, en preuve ses gémissements et ses soupirs. Le petit souvenir de la veille lui revenant en tête, malgré l'envie monstre de bouger contre lui, le blond se limita tout de même dans ses mouvements de hanches. Allant quand même bouger légèrement à sa rencontre sans pour autant y aller trop franchement. Les escaliers ça peut être casse gueule on a pas idée...

Quelle vulgarité. Un nouveau sujet d’exemple de l’hôpital qui se fout de la charité là. Enfin pour l’heure je m’en contre foutais comme de l’an quarante, bien trop occupé et absorbé par tout autre chose. Encore un mauvais jeu de mot tien… Mais oui, bien que pas vraiment à l’aise dans les bois, pour sûr que la petite gâterie que m’avait offert Dorian m’avait plus qu’échauffé. Rajouté à ça cette petite course d’impatience sur le chemin du retour et voilà. Pas le temps pour la tendresse. L’heure était à l’excitation la plus total et enivrante. Chose d’autant plus exacerbé de par les gémissements et soupire poussé par Dorian, que j’accompagnais de mes râle de plaisir tout en allant et venant en lui encore une fois de façon plutôt rapide et franche. Accélérant d’ailleurs mon rythme au fur et à mesure, vraiment excité a un point rarement atteint.

Et dans tout ça quelque chose manquait quand même. Moi-même j’y allais plusieurs sauvagement, à l’image de mon excitation pour lui. Chose qui semblait d’ailleurs partagé par ses crie et pourtant son corps lui ne répondait pas comme d’habitude. Pas besoin d’être Sherlock Holmes pour deviner pourquoi. Même moi je pouvais y arriver. Gardant donc ma main solidement accroché à son épaule, mon autre avait glissé sur son dos, longeant sa colonne tout en appuyant dessus pour le faire se cambrer d’avantage avant de rejoindre sa nuque, glissant ma main dans ses cheveux avant de refermé mes doigts dessus tout en les tirant légèrement vers moi.

- Bouge…

Chose dite dans un souffle, au vu de ma respiration déjà bien hachuré. Et dans le doute qu’il n’ait pas bien compris la requête, après avoir reculé mon bassin, j’étais revenu le prendre d’un coup, tirant au passage son épaule pour le faire venir taper contre moi de façon encore plus ferme. Reprenant très rapidement mes coups de reins bestiaux en lui.